Le praticien

  • Prénom : Jean
  • Nom : GRÉGOIRE

Praticien reiki depuis 1999, je suis aussi formé à la Programmation Neuro-Linguistique (PNL).

D’autre part, je suis également méditant depuis plusieurs années, dans la tradition du bouddhisme Dzogchen de l’école Nyingmapa. Cette pratique de la méditation m’a beaucoup apporter dans mon approche du reiki, où la pleine présence / pleine conscience est devenue indissociable du soin.

Je pratique le reiki depuis maintenant plus de vingt ans de façon bénévole, dans mon environnement relationnel et à l’occasion de présentations de cette méthode de soins énergétiques lors d’événements. À de nombreuses reprises, j’ai été amené à donner des soins dans des cas extrêmes (tentative de suicide, comas, brûlures graves, cancers, accompagnement de fin de vie…).

À partir de 2007 et durant deux années, j’ai animé un cabinet de reiki sur Bordeaux, dans le cadre de soins payants conventionnels. Toutefois, même si les « clients » étaient au rendez-vous, je prenais progressivement conscience que je ne me sentais pas à l’aise dans cette marchandisation du bien-être. Exerçant alors une autre activité professionnelle dans le secteur du logiciel libre et de l’Économie Solidaire et Sociale, j’ai donc recherché un modèle innovant permettant de transmettre le reiki dans une démarche plus respectueuse des besoins et des moyens financiers de chacun.

C’est à l’occasion de soins hebdomadaires auprès de personnes atteintes de cancer que le principe de Reiki Solidaire est né. L’idée était de permettre à chacun de recevoir des soins réguliers, sans que le budget soit un frein. Je me suis donc inspiré de certaines communautés bouddhistes diffusant leur enseignement sur un principe de libre contribution.

Parallèlement, les retours positifs des « receveurs » concernant l’amélioration de leur état de fatigue, de leur anxiété, du stress et de la douleur m’ont incités à rechercher des informations sur les avancées de la recherche clinique sur les thérapies énergétiques et en particulier sur le reiki.

C’est dans ce contexte que Reiki Solidaire s’est aussi fixé un objectif d’information sur l’évolution de le recherche clinique sur les thérapies par bio-champ. À ce titre, mon intention n’est nullement de rechercher une caution pseudo-scientifique sur la pratique du reiki. Je ne suis ni scientifique, ni professionnel de santé. Par contre, je suis un communiquant depuis de nombreuses années et la recherche d’informations me motive particulièrement, en ce qui concerne l’évolution de notre approche collective de la notion d’énergie vitale.

La part de spiritualité dans ma pratique du reiki

Je ne fais pas partie de ceux qui associent la pratique du reiki à une dimension mystique, voir occulte. Je pense qu’en effet, si nous voulons faire avancer le reiki dans le domaine des soins complémentaires, il est important de le « dépoussiérer » de ce type de connotation. Aujourd’hui, il est clairement établi et admis par la communauté scientifique que le corps humain est parcouru par un champ électro-magnétique qui découle, au moins en partie, de l’activité électrique du corps, des cellules et des organes vitaux.

Et il n’y a jusqu’ici absolument rien de magique ! Il n’est pas nécessaire de convoquer un ange gardien ou une quelconque lumière violette pour pratiquer le reiki. Toutefois, si je dois aborder l’idée de spiritualité, j’aurais tendance à revenir plutôt à l’essentiel.

Le mot « esprit » nous vient du latin « spiritus » qui signifie souffle vital, principe de la vie, esprit…

Il semble donc que la notion d’esprit et donc de spiritualité soit indissociable depuis bien longtemps, de l’idée de circulation d’énergie. Mais attention, quand je parle ici de spiritualité, je dissocie totalement cette notion de religion. Si les religions traitent effectivement de questions spirituelles, elles ne sont pas, à mon sens, La Spiritualité.

À ce sujet, je m’inspirerais d’une définition de la spiritualité que l’on retrouve souvent dans les enseignements bouddhistes. Il s’agit d’un entraînement de l’esprit (notamment par la pratique de la méditation) mais aussi d’un ensemble d’enseignement sur l’esprit, nous permettant de mieux percevoir, par l’expérience, ce qu’est réellement « la nature de l’esprit ».

Et si l’on se réfère aux traditions spirituelles orientales, l’esprit est donc indissociable des souffles énergétiques.

Au-delà de ces considérations, s’engager dans une pratique spirituelle, c’est d’abord chercher à évoluer, à mieux se comprendre pour progressivement devenir meilleur et diffuser le bien ou tout au moins, le mieux autour de soi.

C’est dans cette perspective que ma pratique du reiki peut être considérée comme un karma yoga (yoga de l’action désintéressée).

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